• Voila mes flipnote ^^ Dites si ca vous plait !!

    Flipnote Hatena

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  • J'enrage, je suis encore chez moi. Je voudrais te donner un coup de poing, te faire fermer ta grande gueule. Les mots, c'est bien joli, mais ça ne vaut pas un bon bourre-pif. Je tremble de cette colère contenue. Toutes les années passées où j'ai gardé ma rancune pour les gens qui se sont moqués de moi, de ce que j'étais, j'étais moche, j'étais grosse, tout ça, c'est trop plein. Ca va éclater, et je plains sincèrement celui qui se le prendra sur la tête, sauf que toi, je ne te plaindrais pas.
    Et puis je doute que tu puisse me faire souffrir plus que je n'ai déjà souffert...

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  • Les feuilles sont tombées,
    On ne voit plus que le bout de son nez,
    Les feuilles sont partout,
    Et Eliott est en dessous

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  • Girflet, le cœur brisé d’avoir perdu le roi, engagea des chevaliers pour parcourir la terre et les océans à la recherche de son roi tant aimé. Il leur fit jurer de ne revenir qu’avec le roi. Les chevaliers partirent. Des mois passèrent, mais aucun d’eux ne revint. Girflet se désolait, en perdait l’appétit, et rien ne pouvait le distraire de son chagrin.<o:p></o:p>

    Pendant que Girflet dépérissait, un chevalier au cœur noir et vil eut une idée des plus diaboliques. Il allait tuer le roi, du moins s’il le trouvait, et allait dire à Girflet que le roi, très malade, avait trépassé et sur son lit de mort, l’avait nommé Roi. Cet être avide de pouvoir trouva le roi, mais, au grand désespoir du chevalier, il était bien portant. Le félon essaya, de plusieurs manières, de tuer le roi, sans résultat. Il dut alors le provoquer en duel.<o:p></o:p>

    Arthur accepta sans rien dire. Il n’était pas de ces jeunes coqs qui se croyaient obligés de dire comment leur adversaire allait mourir. Les deux rivaux se préparèrent. Armure, heaume, épée, bottes, cotte de mailles, ils étaient prêts. <o:p></o:p>

    Ils se mirent en garde, et le duel commença. Le chevalier, pressé, multipliait les feintes, les coups et utilisa toutes ses bottes fourrées, sans résultat. Le roi parait chacune de ses attaques. Il le laissait s’épuiser petit à petit, et quand l’autre, essoufflé, baissa la garde, il se mit en action. Gauche, droite, son épée semblait avoir une vie propre. La lame argentée cognait dur sur l’épée rouillée de l’adversaire, et à chaque coup elle redoublait d’intensité. Au son rythmé des coups du roi, le chevalier faiblissait. L’autre feintait, attaquait, se fendait, le tout sans baisser la garde.<o:p></o:p>

    Puis le félon épuisé baissa sa garde, qu’il avait maintenue jusqu’ici. Le roi, adroitement, passa derrière lui et appuya son épée tranchante sur la jugulaire du traître.<o:p></o:p>

    L’autre, à genoux, implora son pardon, mais en vain. Arthur tua son rival, et quitta l’arène, où le sable se teintait lentement de rouge. Rouge sang.<o:p></o:p>


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  • J'approche, chaque pas me mène vers cette maison. Soudain, un crissement me sort de mes rêveries. Du gravier. Me voici arrivée. La lourde grille de fer forgé me fait face, imposante, impassible, et pourtant, à moi toute seule, je vais passer. Puis-je vous donner la clef de cette énigme ? Je l'insère dans la serrure et hop ! le tour est joué. La cour est en piteux état. Les feuilles mortes parsèment les pavés envahis de mousse et d'herbe, le toit, las de porter la gouttière, l'as laissée pendouiller dans le vide, et quelques tuiles ont fini avec les bacs de pierres, en bas. Ceux-ci sont fêlés, les fleurs ont fanées, l'eau s'écoule par chaque fissure dans la pierre. Et pourtant, avant c'était une maison magnifique. La porte est en bois, et elle était autrefois si utilisée que les mains, frappant, poussant, toquant, y avaient laissé leur marque.  Le verrou est simple, et il ne me faut pas longtemps pour le crocheter. Dès que j'entre, une vague de poussière m'assaille. Beurk ! Je m'empêtre les doigts dans des toiles d'araignées vieilles de cinq mille ans et trébuche sur le parquet inégal. Une demeure de rois, ça ? Ah, il m'avait bien eu, l'agent immobilier. "Vous verrez, juste quelques petites réparations à faire, rien de bien important".

    Dans l'entrée, il y a un grand escalier, et le tapis autrefois rouge et doré est maintenant terne et sale. Le plancher se décolle, est humide, grince horriblement à chacun de mes pas. C'est plus que je ne peut en supporter. Je rebrousse chemin, et je file vers l'agence immobilière.


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