• Las flores como,

    Pintitas de pintura,

    Azul, verde o rojo,

    Es una fantastica mezcla.

     

    Con verde y grandes hojas,

    Con el blanco puro,

    Con pintitas violeta,

    O el eternal rojo.

     

    Son las flores de la primavera,

    Que encantan nuestros ojos y nuestros corazones,

    Son las flores de la primavera,

    Que no estan arrugadas.

     

    Las flores en una maceta,

    O en un jardin,

    Esta flor, o esa planta,

    Sus vidas no tienen fin.


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  • Butterflies always,

    Butterflies every day,

    Leaves falling slowly down,

    Red cloud above the town.

     

    Paris is like under snow,

    Leaves everywhere on the road,

    We're submerged,

    It urge,

    A woman is drowning,

    In that orange sea,

    Don't you think,

    It's emergency ?

     

    Help ! Help !

    My dog disapeared !

    Help ! Help !

    Autumn gets to be feared.

     

    Spring summer winter,

    You don't really fear those seasons,

    But in autumn,

    You have a good reason :

    Babies drowning,

    Cars disapearing,

    Leaves in all the house,

    With rats and mice.

     

    You should fear autumn,

    That terrible season,

    When all the leaves fall,

    This is my opinion.

     

    Don't listen to all the poems,

    That say that autumn is beautiful,

    Trust me, say it to your friends,

    Autumn is fatal.


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  • Les voyages sont comme des bateaux,
    On vogue sur les flots,
    On traverse la mer jusqu'au paradis,
    Tous les continents sont jolis.

    Les voyages sont comme des avions,
    Ca va vite, c'est pas long,
    Et pourtant, chaque souvenir,
    Nous fait sourire.

    Les voyages sont comme des trains,
    Accrochez vous bien,
    Le train numéro quatre mille deux cent vingt,
    Vous emmenera très loin.

    Mais il existe des voyages,
    Que l'on fait sans bouger,

    Quand on tourne les pages,

    D'une bande dessinée.

     

    Quand on lit un livre,

    On a l'impression de vivre,

    L'aventure de notre personnage préféré,

    Et toutes seules les pages se mettent à tourner...

     

    J'espère que vous savez lire comme ça,

    Car cette lecture là,

    Vous emmenera au delà des océans,

    L'air là bas sera un air sans avions,

    Car, même si c'est le même livre que vous lisez,

    Toujours les interprétations peuvent différer,

    Alors, amusez vous bien,

    Dans votre monde, monde lointain,

    Mais n'oubliez jamais,

    De vous réveiller.


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  • Les mots sont comme des enfants,
    Tu les aime,
    Tu les chéris,
    Et ils se plient à toutes tes envies.

    Mais ils sont des fois capricieux,
    Ils fuient la recherche que l'on mène sur eux,
    On a du mal à trouver la rime,
    Quand les mots s'en mêlent...

     

    Ils aussi un sens caché,

    Qui peut parfois dire plus que le mot lui même,

    Et assemblés,

    Ils forment un poème.

     

    Avec moi, les mots sont heureux,

    Quand j'ai l'inspiration, ils coulent à flot !

    Et même quand je ne veut,

    Ils coulent dans ma tête.

    Ils murmurent à mon oreille,

    Des histoires, des merveilles,
    La douce litanie,

    Qui forme la poésie.

    Le flot palpitant,

    D'un roman.

    L'ambiance angoissante,

    D'une série policière.

    Là, les mots me fuient, pour rimer avec angoissante,
    C'est pour moi une descente en enfer,
    La peur de la page blanche,
    La vie me montre un ciel austère.

    Tu le vois bien,
    Mes rimes déraillent,
    Et mes mains,
    Tremblotent sur le clavier.

    Les mots m'ont quittée,
    Ils sont fatigués,
    D'avoir murmuré,
    A mon oreille toute la journée.


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  • Si je le voulais,
    Je pourrais te pousser,
    Toi qui est en équilibre,
    Instable, sur un seul pied.

    Sauf que je ne le veut pas,
    Ce n'est pas moi,
    Ni assassin, ni meurtrier,
    Car à jamais je le regretterais.

    Des fois, je suis subjugée,
    Par toi,
    Des fois je suis aveuglée,
    Par cette colère noire.

    Il fut des fois où je t'ai haï,
    Et d'autres adoré,
    Mais là je suis,
    Plutôt fachée.

    Non pas que tu y sois pour quelque chose,
    Mais je suis en colère,
    Et à trop haute dose,
    Il faut qu'elle se libère.

    Je me venge sur toi,
    Le seul que je peut atteindre,
    Avec des mots, des phrases,
    Des poèmes.

    Alors je te le dis,
    Mais n'écoute pas,
    Je te déteste,
    Je ne te supporte pas !

    J'ai envie de te tuer,
    De t'étriper, de t'égorger,
    De te pousser,
    De te faire tomber.

    Plouf ! dans les crocodiles !
    Il n'y a plus personne,
    Plouf ! dans les crocodiles !
    Et plus de Byron !

    Je veux te faire du mal,
    Je veut te porter,
    Le coup fatal,
    T'écrabouiller.

    Et si tu ne comprends,
    Toujours pas,
    Je te poursuivrais maintenant,
    ET TU TRéPASSERAS !

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